Invisibles nous invite à discerner un certain regard intérieur. Il nous plonge dans un état de compréhension archaïque dans lequel les profondeurs de la jungle communiquent. Azen, neuf ans, a peur de rêver, il doit décider d’entrer dans le monde transcendantal de ses visions ou bien de laisser la jungle continuer à se remplir des cadavres laissés par le conflit armé. Le dernier film d’Esteban García Garzón a été présenté pour la première fois au festival du court métrage de Clermont Ferrand, et a ensuite été projeté dans de nombreux festivals internationaux
(Nicolás Cifuentes)